DigitAll : ensemble pour réduire la fracture numérique

Prendre rendez-vous chez le médecin, demander un document administratif ou même inscrire son enfant à l’école : aujourd’hui, pour toute une série de services essentiels, dans la vie privée comme professionnelle, la voie numérique est de plus en plus souvent privilégiée.

Un écosystème pour agir

C’est pourquoi, avec une série d’organisations sociales, instances publiques et entreprises, nous avons lancé DigitAll en 2020. Le but de cet écosystème ? Définir et mettre en œuvre des solutions concrètes pour renforcer l’inclusion numérique.

Entre-temps, de nombreux acteurs se sont joints à l’initiative et 46 nouveaux membres ont rejoint les rangs de l’association ce 16 juin 2022, à l’occasion du lancement de la campagne de sensibilisation aux risques de l’exclusion numérique. Car les personnes qui n’ont pas accès aux technologies numériques, qui ne possèdent pas les compétences nécessaires ou qui ont peur de les utiliser, sont aujourd’hui incapables d’exercer pleinement leurs droits humains fondamentaux.

Et BNP Paribas Fortis, dans tout ça ?

En tant que banque, nous estimons que nous avons une responsabilité envers notre clientèle et, plus largement, envers la société dans son ensemble. Et pour cause : la banque en ligne est le service le plus utilisé en Belgique.

C’est pourquoi nous mettons un point d’honneur à ce que nos canaux digitaux restent simples d’utilisation, et accessibles. Cela passe, notamment, par notre application Easy Banking qui évolue en permanence selon les retours de notre clientèle. L’objectif ? S’assurer qu’elle reste intuitive, claire et facile à utiliser.

Des ateliers digitaux pour n’oublier personne

Plus d’un tiers des Belges sont menacés d’exclusion digitale, avec des conséquences souvent dramatiques à la clé.

Avec nos ateliers digitaux, nous apportons un élément de réponse concret à cette problématique. « Nous organisons ces sessions d’accompagnement pour toutes les personnes qui en ont besoin, quel que soit leur niveau de connaissance du digital », explique Emmanuelle Presciutti (Digital Change Hainaut). « Il peut s’agir de novices, ou de personnes qui ont simplement besoin d’être rassurées ou remises à flot. Dans tous les cas, c’est une initiative particulièrement appréciée ! »

« Nos ateliers peuvent prendre différentes formes », ajoute Laila Yahia (Digital Change Anvers). « On intervient de façon informelle lors de certains événements, à distance, ou simplement en agence. Nous avons même créé un espace cosy pour que nos clients apprennent en condition, comme s’ils étaient chez eux. »

« C’est un rôle que nous prenons à cœur et nous ne nous contentons pas de présenter notre application », précise Amélie Przyklenk (Digital Change Hainaut). « Nous proposons un véritable accompagnement dans la prise en main des outils digitaux, et redirigeons même parfois ces personnes vers les espaces publics numériques, qui ne sont pas toujours connus. »

Une banque toujours plus accessible

Enfin, nous veillons à rester accessibles en proposant à nos clients et clientes de choisir la façon dont ils souhaitent entrer en contact avec nous, qu’ils soient familiers avec les technologies digitales ou non. Ainsi, nous étendons actuellement notre réseau en y intégrant les bureaux de poste de bpost banque, soit 650 points de contact supplémentaires d’ici 2024. Et nous lancerons prochainement Nickel, un compte qu’il est possible d’ouvrir en quelques secondes, directement en librairie. Un engagement au cœur de notre nouvelle organisation commerciale, donc.

S’engager pour réduire la fracture numérique, c’est ça aussi le Positive Banking.