Selon une étude de l’économiste en chef Koen De Leus, l’économie belge compte parmi les plus vulnérables au monde sur le plan des coûts croissants liés au vieillissement. En parallèle, la monnaie unique européenne connaît une progression, en partie grâce à la réduction des flux de capitaux vers les actifs libellés en dollars, au profit des actifs européens. C’est l’une des raisons pour lesquelles le stratège en chef Philippe Gijsels évoque la fin de « l’exceptionnalisme américain », ce qui impacte notamment les valeurs technologiques – souvent américaines. Les marchés financiers, quant à eux, restent marqués par une forte volatilité, tandis qu’un certain optimisme entoure le secteur des matières premières.