Malgré leur aversion au risque, épargnants et investisseurs espèrent d’improbables rendements. Telle est l’une des conclusions d’une enquête sur l’épargne et l’investissement réalisée par le magazine B NQ, un supplément bancaire publié dans le quotidien L’Echo. En marge de cette enquête, B NQ a réuni des experts afin de trouver des solutions en réponse à cette contradiction.
Le thème central de la troisième édition de B NQ (B NK, en néerlandais), est cette fois : « Comment le Belge gère-t-il son épargne ? ». La sphère académique, les intervenants sur le terrain, les entrepreneurs et les acteurs du secteur financier s’expriment sur cette problématique.
L’un des thèmes-phares de l’édition du mois de décembre est sans aucun doute la réunion-débat à laquelle a participé Philippe Gijsels, Chief Strategy Officer de BNP Paribas Fortis. En compagnie de quatre autres experts, Philippe Gijsels s’est penché sur ce que seront l’épargne et les investissements de demain et sur la manière dont une meilleure éducation financière pourrait contribuer à activer l’épargne.
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Supplément trimestriel publié dans les quotidiens économiques L’Echo et le Tijd, B NQ fait le point sur les mutations du monde financier. Le magazine, et le site correspondant, sont rédigés par des journalistes sur la base des connaissances, de l’expérience et du savoir-faire de BNP Paribas Fortis. B NQ n’est pas vendu séparément, n’a aucun objectif commercial et n’a pas pour vocation de mettre explicitement BNP Paribas Fortis en avant.
Vous trouverez plus d’informations sur www.echo.be/bnq.